Cela faisait un petit moment que je la guettais vu les très bonnes évaluations fiables qu'elle avait. J'ai eu la chance et le plaisir d'être le premier à la voir sur Aix, elle venait de Zurich. L'appartement est petit et propre mais pas idéalement placé car sur une place avec que des restaurants. Accueil parfait, c'est bien elle sur les photos, elle est souriante et charmante. FK,DFK,OWO,cuni... elle a enchaîné les quelques positions que j'affectionne toujours avec le sourire, entrain et quelques agréables gémissements feints ou pas. Je la recommande.
Acte VIII. Petit retour en arrière. L’imprévisibilité s’est encore invitée au voyage alors qu’elle transitait par Lyon pour prendre son vol pour chez elle… le retard de son transport semblait rédhibitoire, je tournais alors les talons lorsque soudain le téléphone sonne. « Come baby, i’m here now ». En d’autres occasions, je n’aurais jamais fait marche arrière mais... Flor est tellement un antidote à toute forme de prosaïque routine que je suis prêt à presque tout lui pardonner. Elle a son petit côté cabotin qui lui donne ce charmant petit caractère et ce supplément d’âme, cette intelligence émotive qu’elle diffuse avec élégance et transparence pour se transformer, sans vulgarité, en une belle diablesse impudique et transgressive. Son smile inimitable et ses répliques délicieuses parfois me déroutent. Tout cela distillés avec un naturel désarmant, tantôt dompteuse et tantôt domptée. Non, aucune routine s'installe, c’est tout Flor. La sentir ouvrir ses bras est déjà le plus beau gage d'amour. Elle se souvient de nombreux détails mais parfois mélange durées et temps. Alors gentiment on se détricote, on se tarabiscote, mais vite on se ravigote. Lui glissant un imperturbable "I can apologize everything about you », elle s’esclaffe et me renvoie un « You are so funny ». Sa sulfureuse signature semble imprimer tout entier mon esprit. Ce jour là, j’ai presque tout oublié et pardonné... son retard.